[3 ans du blog !] Interview de Christelle Dabos + concours !
A l'occasion de 3 ans du blog je vous propose de découvrir l'univers si particulier de Christelle Dabos, qui a remporté le concours Galliamrd jeunesse, RTL et Télérama, organisé l'été dernier et dont la gagnant a ainsi été publiée en juin 2013. Voici donc une interview... et un concours !
Bonjour Christelle ! Merci de bien vouloir répondre à mes questions ! Tout d’abord, pouvez-vous vous présenter, ainsi que votre roman ?
Bonjour La Voix du Livre ! Je suis Christelle Dabos,
l’auteure de la Passe-miroir. Je postais mon histoire sur Plume d’Argent, un
site web littéraire, quand j’ai été propulsée dans la cour des grands en
gagnant le Concours Premier Roman organisé par Gallimard Jeunesse, Télérama et
RTL. Le « premier roman » en question, c’est donc le tome 1 de la
Passe-miroir, Les Fiancés de l’Hiver,
une saga Fantasy-Steampunk (pour faire simple, ça mélange du fantastique à
une ambiance XIXe siècle).
Vous avez-donc commencé à écrire quand la maladie est survenue… voulez-vous bien nous en parler ?
En fait, l’écriture n’est pas venue avec la
maladie, mais elle a pris une nouvelle dimension à cet instant. Je venais de
commencer la Passe-miroir quand j’ai dû subir une lourde opération chirurgicale.
J’avais alors 28 ans et j’étais sans emploi. La convalescence a été très
longue, ponctuée de nombreux contrôles médicaux : la Passe-miroir a pris
son ampleur à ce moment-là. J’ai bénéficié tout du long du soutien de mon
compagnon, de ma famille et des auteurs de Plume d’Argent !
Mais alors, avant d’écrire La Passe-miroir à ce moment là de votre vie, qu’était pour vous l’écriture avant ?
J’écrivais déjà, depuis mes 20 ans pour être
précise. J’ai commencé sur les bancs de la fac, par de petites nouvelles
loufoques destinées à faire rire ma meilleure amie. Ensuite, j’ai découvert les
Harry Potter juste au moment où le cinquième tome tardait à sortir : pour
combler l’attente, j’ai écrit une fanfiction qui a été ma première grosse
histoire. Trois cents pages sont sorties d’un coup, c’était nouveau et grisant
pour moi ! J’ai ensuite écrit un roman original, tendance Médiévale
Fantasy, l’histoire d’une jeune femme voulant devenir chevalier… c’était juste
un plaisir à partager avec mes amies, je ne songeais pas du tout à l’édition.
Enfin, j’ai quitté la Côte d’Azur pour la Belgique et là, j’ai commencé à
couver une nouvelle histoire, qui me plaisait déjà plus que toutes les autres
réunies : la Passe-miroir.
Êtes-vous finalement… un peu redevable à ces durs moments ?
La maladie m’a offert un nouveau regard, de
nouvelles peurs mais aussi de nouvelles forces. Je pense que ma longue
convalescence a permis à ma créativité de prendre son envol, en plus de me
donner beaucoup, beaucoup de temps libre. Ce temps, que j’ai mis à profit pour
beaucoup écrire et beaucoup lire, m’a permis de mûrir un peu, moi, la grande
adolescente.
Comment vous est venue l’idée de ce monde si particulier aux personnages hauts en couleurs ? Vous construisez ici un univers formées « d’arches »… comment tout ceci vous est venu ?
J’ai envie de dire que ce monde s’est imposé de
lui-même. Le jour où j’ai eu le déclic de la Passe-miroir, toutes les idées ont
fait « blop ! blop ! blop ! » comme des bulles de
savon. Je n’avais pas l’impression de devoir réfléchir : les arches, les
familles, les pouvoirs, Ophélie, Thorn, l’écharpe, tout s’enchaînait si vite
que ma main n’en pouvait plus de gribouiller mon cahier. Attention, ça ne veut
pas dire que le monde et les personnages sont sortis déjà aboutis et cohérents
de mon imagination. J’avais juste l’intuition de leur essence. C’est à travers
l’acte d’écriture, de réécriture aussi, que j’ai ensuite taillé mon matériau
brut pour lui donner sa forme finale.
En lisant La Passe-miroir, j’ai finalement l’impression que vous ne vous imposez aucune limite, que votre univers vous l’inventez presque au fur et à mesure de votre plume et que tout ce qui vous plaît, vous le placez dans votre livre, est-ce vrai ou vous imposez-vous des limites ? Pas que je vois un quelconque désordre, mais plutôt une imagination folle qui déborde vivement et très agréablement de votre esprit !
Très bien vu. Je me suis fait une promesse,
quand j’ai commencé la Passe-miroir : ne me poser aucune contrainte,
lâcher la bride à l’imagination, explorer tous les coins de mes envies. Je ne
voulais ni m’imposer des règles (la Fantasy et le Steampunk étant des genres
assez codifiés), ni forcément rechercher l’originalité absolue. Tout ce qui
m’intéressait, c’était la liberté d’écrire l’histoire qui me faisait rêver… et
pourquoi pas, d’y entraîner mon lecteur. La réécriture m’a ensuite permis de
remédier aux incohérences et aux nombreux cheveux sur la soupe.
Je ne peux m’empêcher également de penser à L’écume des jours en lisant votre roman… vous dites faire référence au Passe-muraille, mais je vois moi toujours un brin de malice semblable à celui de Boris Vian : une écharpe qui s’anime, des verres qui se réparent… est-ce que vous avez lu ce chef-d’œuvre ou est-ce tout simplement un univers qui vous est familier depuis longtemps ?
Alors là, je suis intriguée, il va falloir que
je lise ce roman ! En fait, je n’ai feuilleté Boris Vian qu’une fois,
quand j’étais toute jeune, pendant des vacances d’été : je n’avais rien
compris et j’ai tout oublié. Est-ce que des images, des passages se seraient
imprimés malgré tout dans ma mémoire et que je les aurais ressortis ?
C’est souvent comme ça : je crois avoir une idée originale et je finis par
m’apercevoir que je n’ai fait que me rappeler celle de quelqu’un d’autre.
Votre personnage semble un peu vous ressembler, en tout cas niveau physique en regardant vos illustrations sur votre site… mais qu’en est-il en réalité ?
C’est amusant, car on m’a souvent fait la
réflexion alors qu’en définitive, à part les lunettes, Ophélie et moi ne nous
ressemblons pas tant que ça. Elle est toute menue à l’extérieur et très forte à
l’intérieur. Moi, c’est plutôt l’inverse : je suis bien charpentée au
dehors mais plutôt fragile au-dedans. Bon, par contre, j’avoue, on est aussi maladroites
l’une que l’autre.
Vous inspirez-vous de la réalité et de la vraie vie pour tout ce que vous écrivez ?
On ne parle jamais si bien que de ce qu’on
connaît. Je ne retranscris pas telles quelles des expériences vécues, évidemment :
je les distords, je les transforme. Par exemple, Ophélie quitte la douce Anima
pour le Pôle. Moi-même, j’ai quitté la Côte d’Azur pour la Belgique et je n’ai
jamais eu aussi froid de ma vie ! La comparaison s’arrête là, je suis ici
parce que j’aime ce pays et ses habitants. Mais voilà, j’ai gardé le vertige du
départ, le réflexe de comparer deux cultures différentes, ce petit mal du pays
qui me prenait souvent au début. De même, j’essaie de toujours puiser dans mes
émotions, dans mes tripes, dans ce qui m’a fait rire ou souffrir afin de
pouvoir me mettre au diapason avec l’état d’esprit d’Ophélie. De façon
générale, il y a des échos de tous mes proches dans les personnages de la
Passe-miroir : ce que Thorn possède de mieux en lui, c’est de mon
compagnon que ça vient.
Vous introduisez aussi votre héroïne au milieu d’un univers où elle n’a finalement aucun allié. Pourquoi ce choix ?
C’était un défi pour elle comme pour moi. Elle
est faible, elle est maladroite, elle est vieillie avant l’heure : je
voulais l’obliger à confronter son système de valeurs à celui, cynique, de la
cour du Pôle. Qu’elle fasse des choix, qu’elle se tourne enfin vers les autres
pour chercher des personnes de confiance, qu’elle se réveille… qu’elle se
révèle, quoi !
Pour parler de la suite, que pouvez-vous en dire ?
Motus et bouche cousue. Tout ce que je peux
dire au sujet du tome 2, c’est qu’Ophélie devra jouer les Schéhérazade, qu’il y
aura de nouveaux mystères à éclaircir, de nouveaux dangers à déjouer… et que
peut-être la seule façon pour elle de surmonter ces épreuves, ce sera d’arrêter
de considérer Thorn comme un ennemi ! (Oui, d’accord, j’avoue, j’ai tout
pompé sur le résumé de Gallimard Jeunesse.)
Découvrirons-nous d’autres univers ou lieux aussi différents et enchanteurs ? D’autres personnages si hétéroclites et fascinants ? D’autres complots, intrigues… ?
J’aime renouveler le décor ! Le tome 2 se
déroulera toujours au Pôle, mais dans des lieux que le lecteur n’a pas encore
visités. Pour les tomes suivants, nous découvrirons une autre arche. De
nouveaux personnages viendront tenir compagnie aux anciens, j’espère qu’ils
vous feront une forte impression. Et oui, toujours plus d’intrigues, toujours
plus de mystères ! Chaque tome vous rapprochera de l’intrigue majeure de
la Passe-miroir, à savoir : qui est ce « Dieu » cité dans le
premier prologue ? à quoi riment les Livres ? pourquoi le monde
a-t-il éclaté en morceaux ?
Savez-vous parfaitement comment va se finir la saga, quelle tournure elle va prendre ?
Oui, j’en ai une idée de plus en plus précise,
mais tant que tout ne sera pas figé dans l’écriture, certains éléments peuvent
encore bouger. La seule chose qui est certaine, c’est que la suite devra être
parfaitement cohérente avec chaque tome qui précède. Il y en aura probablement
quatre au total.
Avez-vous d’autres idées, d’autres romans, d’autres projets ?
Je suis incapable de me disperser. Quand je
travaille sur un roman, je ne le lâche pas pour un autre projet tant qu’il
n’est pas achevé. Alors oui, j’ai bien de temps en temps des petites idées qui
germent dans ma tête, mais je me contente de les noter sur un coin de feuille
et de les ranger dans un tiroir.
Enfin pouvez-vous nous parler de l’expérience du concours… comment vous-êtes vous lancé, et vous attendiez vous réellement à gagner ?
Ah, ce fameux concours… Si mes amis de Plume
d’Argent et mon compagnon ne m’avaient pas encouragée à me lancer, je ne
l’aurais jamais tenté. Comment dire ? Je ne me sentais pas mûre pour
l’édition, c’était si confortable de ne rien changer à mes petites habitudes,
de ne pas envisager l’écriture d’un point de vue trop professionnel. Mais
voilà, j’ai peut-être senti qu’il était temps pour moi de faire comme Ophélie
et me frotter un peu au monde pour évoluer. Par contre, si le fait d’envoyer
mon manuscrit était ma première initiative de ce genre, je ne m’attendais
certainement pas à ce qu’elle fasse mouche ! Je n’ai commencé à réaliser
que je pourrais gagner ce concours qu’au moment où j’ai appris que je faisais
partie des trois finalistes.
Avez-vous lu les autres romans de la sélection ?
J’ai dévoré Dis-moi
qu’il y a un ouragan de Fabrice Emont et j’avais commencé TK de Philippe Laborde mais je n’ai pas
eu le temps de le finir quand il a été retiré d’Internet ! J’ai trouvé ça
vraiment enrichissant, car ces auteurs ont un style complètement différent du
mien. Ils méritent tous les deux d’être édités. Fabrice aborde des tas de
thèmes qui parleront à la jeunesse actuelle (la différence, l’amitié, l’amour,
la vie, la mort), et il le fait avec un tel mélange d’humour et de
poésie ! Quant à Philippe, j’ai été complètement séduite par la façon dont
il arrive à adopter le point de vue d’un gamin fasciné par le paranormal.
Ça vaut le Petit Nicolas de Goscinny !
En dehors des finalistes, j’ai également lu
plusieurs auteurs parmi les participants du concours. Il y a de vraies perles, je
ne serais pas étonnée de les trouver un jour sur le présentoir d’une
librairie !
Qu’avez-vous ressenti quand on vous a annoncé que vous aviez gagné ?
Un mélange très paradoxal de joie pure et de
peur panique. Gagner ce concours, ça signifiait que le changement dans mon
existence était désormais amorcé. Ma petite vie confinée à la maison, mon
habitude de soumettre mes avancées à mes lecteurs de Plume d’Argent, tout ça,
ça allait s’arrêter. Et puis j’ai dû passer des interviews, être prise en
photos, moi qui tremble comme une feuille dès que je prends la parole devant un
petit groupe de personnes ! Encore maintenant, j’ai du mal à trouver mes
marques, tout est tellement nouveau pour moi.
Quelles sont aujourd’hui vos émotions d’être éditée chez Gallimard ? Aviez-vous déjà lu des romans qui vous ont marqué dans cette édition ? Etait-ce un rêve ?
De Gallimard Jeunesse, j’avais dévoré les Contes
du chat perché de Marcel Aymé, les Harry
Potter de Rowling et la trilogie de À
la Croisée des mondes de Pullman, trois œuvres qui m’ont énormément
influencée en écriture. Mais imaginer qu’un jour je me retrouverais peut-être
sur la même étagère que l’un d’eux… Bien sûr, quand on plaisantait entre amis
de plume, on le lançait parfois comme une boutade, mais ça ne m’avait jamais
sérieusement traversé l’esprit.
Avez-vous retravaillé tout votre roman avec eux ?
Presque pas ! Les correcteurs de Gallimard
jeunesse sont restés scrupuleusement fidèles à mon manuscrit : à part un
mot ici, une virgule là, rien n’a été retouché, rien n’a été retiré. La seule
chose conséquente que j’ai dû changer, c’est quelques noms de personnages qui ne
possédaient pas la sonorité nordique qu’ils auraient dû logiquement avoir. Ah,
et on m’a fait rajouter un petit épilogue pour assurer une meilleure transition
avec le tome suivant : c’était une très bonne idée.
Et pour la couverture, avez-vous suivi sa création ? Qu’en pensez-vous ?
J’ai assisté à toutes les étapes de conception
de la couverture, depuis le choix de l’illustrateur jusqu’au produit final. Ce
que j’en pense ? On a fait de mon histoire l’objet le plus esthétique de
toute ma bibliothèque ! L’illustrateur a dessiné une Citacielle encore
plus fidèle que ce que mon imagination était capable de concevoir. Et cette
couleur bleu ciel, cette banderole, quelle accroche visuelle ! Nombreux
sont les lecteurs qui ont d’abord été séduits par la couverture avant de l’être
par l’histoire.
Des conseils pour les jeunes écrivains qui ont envie d’écrire un roman ou même peut-être un jour de participer à un tel concours ?
Aux jeunes comme aux moins jeunes, je conseille
simplement d’écrire absolument tout ce qui vous passe par la tête, tout ce qui
vous prend aux tripes, tout ce qui vous tient à cœur. Écrivez d’abord pour
vous-mêmes, n’ayez pas peur des maladresses, des clichés, des erreurs de
débutant, il faut toujours commencer quelque part et le lecteur vous suivra du
moment que vous êtes sincère. Ne songez pas à l’édition comme un objectif en
soi. Si un thème vous tient à cœur, traitez-le. Si un monde vous fait rêver,
inventez-le. Et si vous voulez participer à des concours et des appels à texte,
toutes les expériences sont bonnes à vivre !
Merci beaucoup d’avoir répondu ! Un dernier mot pour la fin ?
Merci à La Voix du Livre de m’avoir donné la parole et d’avoir
écrit une critique aussi positive et aussi encourageante sur mon roman. Merci
aussi à tous les lecteurs qui m’ont fait de très gentils retours. Quand on
débute comme moi, c’est vraiment précieux pour prendre confiance et ça donne
envie de donner le meilleur de soi pour écrire la suite !
En partenariat avec Gallimard jeunesse, nous mettons donc en jeu 5 exemplaires de La Passe-miroir tome 1 : Les fiancés de l'hiver. Vous pouvez lire ma chronique ICI !
Pour cela, c'est assez simple, il suffit de m'envoyer par mail la réponse à la question suivante : Comment s'appelle l'héroïne, et qu'en dit Christelle Dabos dans son interview ? Et aussi, un petit texte ou quelques mots sur votre avis sur mon blog ! :)
MODALITES
- Les participations sont à envoyer à l'adresse mail lavoixdulivre[at]laposte[dot]net (en remplaçant [at] par un arobase et [dot] par un point)
- Vous devrez préciser dans votre mail vos coordonnées complètes : NOM, prénom, adresse, pays, adresse mail et pseudo pour l'annonce du gagnant
- Un peu de politesse ne fait pas de mal, et votre participation ne sera pas pris en compte si vous vous contentez d'envoyer votre participation (merci d'avance !)
- Après fin du concours, toutes les adresses seront supprimées de ma boîte mail.
- En cas de perte de colis par La Poste, Gallimard jeunesse -qui enverra les lots- ou moi-même ne serons en aucun cas responsable
- Une participation par personne seulement est autorisée
- 1 chance en plus par personne est autorisée si elle est inscrite à la newsletter et 1 autre si elle partage l'article sur un blog ou réseau social (dans ce cas là il me faut une capture d'écran et lien s'il vous plaît)
- Le concours dure du 6 juillet 2013 au 26 juillet 2013 CONCOURS TERMINE
- Les tirage au sort sera effectué avec le site en ligne random.org ou le logiciel The Hat
- OUVERT A TOUS LES HABITANTS DE FRANCE METROPOLITAINE et BELGIQUE et SUISSE
Ton interview est géniale, tu as vraiment su poser les bonnes questions ! Je pense que La Passe-Miroir est partie pour devenir un monument de la littérature jeunesse française, c'est mon plus gros coup de coeur depuis des lustres :D
RépondreSupprimerPar contre, je ne participerai pas au concours vu que le livre est déjà précieusement rangé dans ma bibliothèque. ^^
Participation envoyée!
RépondreSupprimerTrès belle interview, super complète et tout! Bravo à vous deux! ;-)
Et très belle initiative, ce concours! =D
Coucou :) superbe interview ;)
RépondreSupprimertu te souviens surement pas de moi mais je tenais le blog plume et encre 77 et on était blog-partenaire à l'époque ou tu étais sur skyrock. ça doit faire presque 2 ans que j'ai arreté mon blog.
je me suis rappelé de ton blog récemment et j'ai décidé de venir faire un tour. je tiens à saluer ton travail et à te dire que j'admire le chemin que tu as fait depuis la version skyrock de ton blog :) CHAPEAU ! ;)
bonnes lectures et bonne continuation dans tes projets
J'ai participé :) merci pour ce concours et encore joyeux bloganniversaire!
RépondreSupprimerInterview très intéressante, doublée de ton avis enthousiaste : je pense que Christelle Dabos va gagner des lecteurs grâce à toi :)
RépondreSupprimerMerci beaucoup à tous et bonne chance à tous ♥
RépondreSupprimerJ'avais entendu parler du concours du premier roman, et j'avais vu le gagnant dans mon centre commercial, il m'intéressait pas mal... L'auteure marque de l'entrain et de l'ouverture dans l'interview, ça montre que l'ouvrage devrait avoir également être une réussite !
RépondreSupprimerBravo à vous deux pour la collaboration ;)
J'ai participé !
Merci beaucoup ! Et bonne chance !
Supprimerbonjour
RépondreSupprimerbon anniversaire pour les 3 ans du blog (^_^)
merci pour le concours et cette interview très complète, vous avez su poser les bonne questions.
bonne journée
Merci beaucoup Elodie !
SupprimerTu peux me tutoyer ^^
Concours très sympa! Merci et joyeux bloganniversaire :)
RépondreSupprimerMerci !
SupprimerSuper entretien ! Chapeau bas Tom !
RépondreSupprimerJ'ai dévoré cette interview :) Merci Tom d'avoir posé les bonnes questions et merci à Christelle Dabois d'y avoir répondu :)
RépondreSupprimerMerci pour ce concours et l'interview d'une auteure au futur très prometteur.et joyeux blog-anniversaire^^
RépondreSupprimerUne interview géniale et un concours sublime pour un blog fabuleux! Je te souhaite une bonne continuation car honnêtement, c'est rare que j'accroche autant à un blog donc j'espère pouvoir te suivre un bon moment!
RépondreSupprimerJ'envoie volontiers ma participation à ton concours, merci beaucoup! :D
Ton interview est vraiment géniale et enrichissante ! (quoi? Ca fait 3 fois que je le dis? Ah beh comme on dit "jamais deux sans trois" :p )
RépondreSupprimerNon mais c'est vrai ^^ en plus on apprend à connaître l'auteure et son parcours ! Elle a eu vraiment de la chance de se faire éditer de suite par une aussi grande ME *le rêveeeee*
Bon blog anniversaire, mon p'tit ♥
Une interview très interessante d'une auteure qui à l'air charmante ! et merci pour le concours ! bon 3 ans !!
RépondreSupprimerEnvoyé ;)
RépondreSupprimerTon interview est très intéressante, ce livre a vraiment l'air sympa !
RépondreSupprimerMerci pour ce concours et joyeux anniversaire à ton blog ;)
Joyeux blogoanniversaire !!
RépondreSupprimerLes avis m'intriguent de plus en plus sur le livre... je tente ma chance. Merci pour l'avoir organisé ;)
très belle interview qui m'a donné envie de découvrir ce livre (la couverture ne m'attirait pas à la base) merci pour ce concours :) joyeux anniversaire de blog!
RépondreSupprimer